Il est d’usage de considérer Sault comme un portail d’entrée vers l’univers du Mont Ventoux. C’est souvent, en effet, vers le Géant de Provence que se tournent les regards des visiteurs venus jusqu’ici. Avec un net penchant pour l’anticonformisme, je boude pourtant le sommet pour diriger mes pas dans ces grands espaces qui, depuis le nord et l’est de Sault, se précipitent vers le Plateau d’Albion. Un territoire de l’ordre de l’intime et où, entre sous-bois fleuris et champs de lavande, ont poussé deux autres villages, héritiers de la Provence médiévale. Dans une démonstration géométrique presque parfaite, ce triumvirat a inspiré un circuit de randonnée triangulaire qui plonge le/la marcheur/se dans les coulisses d’un micro-univers que l’ombre impressionnante du Ventoux a tendance à dissimuler. Je m’y suis aventuré.
Difficulté : assez facile | Distance : 13 km | Dénivelé : 360m | Durée : 4h30 | Carte : IGN TOP25 1/25000è 3240OT – Banon, Sault, Plateau de Saint-Christol
1 – Sault
Sault. La porte d’entrée orientale du Mont Ventoux. Un fief dont les armoiries pourraient être la lavande et le vélo. Aux beaux jours, les cyclistes s’y pressent presque autant qu’à Malaucène pour défier le géant de Provence. Ce jour enocore, des pelotons surexcités défilent devant la petite boulangerie où je suis allé récupérer mon futur pique-nique de la journée.
Pour ce qui me concerne, je ne suis pas là pour le Ventoux, déjà gravi plus tôt dans l’année – voir l’article : Ascension du Mont Ventoux : le Défi de la Directe Sud-Ouest. Je ne suis même pas là pour les Gorges de la Nesque, attraction naturelle à deux pas de Sault et que j’ai également déjà couvertes – voir l’article Ventoux : les Gorges de la Nesque.
Aujourd’hui je tourne le dos aux classiques et aux itinéraires « vitrine », résolu à découvrir le pays de Sault en jouant la carte de l’alternatif. Je prends néanmoins le temps de m’attarder dans le village, rattrapant ainsi celui perdu lors du tournage de Mon GR Préféré en 2021 où ni Olivier, ni moi, n’avions pris le temps de faire des images autres qu’aériennes de Sault, trop pressés sans doute de plonger dans les ravins de la Nesque.
Sault était alors le point de départ du segment du GR® de Pays Massif du Ventoux que nous avions choisi de présenter jusqu’à Brantes et via Malaucène – voir l’épisode de Mon GR Préféré. Revenu aujourd’hui en solitaire et avec plus de temps devant moi, je pars en exploration et sans véritable intention dans les venelles étroites du Sault ancien.
Siégeant sur un piédestal rocheux qui domine un royaume de lavande, de petit épeautre et de blé, Sault ne laisse pas indifférent. Depuis son esplanade, je me glisse sous un ancien porche, inspiré pour ma déambulation par des noms de rues et de ruelles croustillants : ici les Esquiches Mouches, plus loin le Rompe-Cul.
Sault, la médiévale, rappelle qu’elle fut, jadis, la capitale du Comté de la famille d’Agoult, première des familles régnantes du Pays de Sault. On est alors en 909 mais cela fait déjà longtemps que l’homme occupe ce bastion. Les fouilles attestent d’une présence locale depuis le Néolithique, soit près de 200000 ans plus tôt.
Je parcours le vieux Sault sans l’once d’un plan de route, au gré du vent, en feuilletant l’Histoire à la lumière exclusive de ses monuments et de ses maisons anciennes. Dans cette sélection je fais face à l’église Notre-Dame-de-la-Tour, construite au 12ème siècle et remaniée au 15ème. Elle est aujourd’hui classée Monument Historique.
Un loup apparaît soudain entre mes pieds. Le canidé fait référence au blason de la ville : d’or au loup ravissant d’azur allumé d’argent. Rien de surprenant à ce qu’il ait été choisi comme jalon pour suivre le circuit de découverte du centre historique. Une promenade d’une heure que je survole bien plus rapidement, impatient de me mettre en route sur le circuit des Trois Villages, mon objectif du jour.
Les balises jaunes quittent Sault par le nord-est et le chemin du Trou de l’Eimine. L’asphalte dévie à droite vers le corpus de bâtiments récents du centre hospitalier, ignorant le chemin de terre qui, dans un clin d’oeil, invite le/la marcheur/se à y opérer un plongeon.
La parenthèse nature entre les villages s’ouvre dans ce cordon tressé presque clandestinement entre deux étendues de cultures. Un corridor abondamment fleuri et coloré, explosant des mille nuances du printemps.
Je m’insère dans un trafic aérien de bourdons et d’abeilles survoltés, voletant, affairés, d’un Coquelicot sanguin au violet soyeux d’un Miroir de Vénus. Des ombelles de Sureau font parfois de l’ombre au-dessus du chemin qu’encadrent des gradins où s’agitent dans le vent un public bigarré de Bleuets, de Mauves des Bois et de Vesces de Cerdagne.
C’est une introduction joyeuse avant de rejoindre la fraîcheur ombragée du Bois des Pourraches et son concerto pour passereaux. Mouvements furtifs dans le treillis des chênes, Mésanges Charbonnières et Rouges-Gorges Familiers ne s’y trahissent que par leurs seuls chants cristallins. Une rangée odorante de Genêts d’Espagne me guide ensuite vers une allée de résineux jonchée de pignes abandonnées.
Par ici la sortie du bois : la pleine lumière des champs de lavande me fait vite rechausser mes lunettes. Réservée pour l’essentiel à la fabrication des huiles essentielles, la lavande officinale – ou lavande fine – est celle qu’on trouve ici autour de Sault, poussant en rangs parallèle jusqu’à la Montagne d’Albion. Un coup d’oeil au loin et j’aperçois celle-ci, qui annonce les Baronnies Provençales et le voisin Drômois.
2 – Saint-Trinit
L’itinéraire amène ensuite rapidement à Saint-Trinit, seconde étape de cette trinité de communes qui dessine un triangle presque parfait ici, sur les contreforts orientaux du Mont Ventoux. J’y tombe sur l’église, haute et fière représentante de l’art roman, arrivée jusqu’à moi en droite ligne du 12ème siècle. Bourgade compacte mais aux teintes chaleureuses, Saint Trinit se dispense des remparts qu’on pouvait trouver chez ses voisines, comme Ferrassières ou Saint-Christol.
Tout en nuances d’ocre orangé et de beige crémeux, relevé parfois du rose de Valérianes accrochées à ses toits de tuiles provençales, Saint-Trinit invite à s’attarder malgré sa taille réduite.
Je cède à l’appel d’une pause à l’apparition d’une table de pique-nique en bois installée sous le houppier d’un chêne probablement centenaire. Ce n’est pas encore la saison de la lavande et je n’assiste donc pas au manège des producteurs qui charrient leurs cargaisons de caissons à la distillerie. Un spectacle plutôt réservé au mois d’été, quand les épis – qui n’ont pas encore pointé le bout de leur nez – commenceront doucement à faner.
Depuis le cimetière, à la sortie du village, une série d’oratoires consolident temporairement le balisage de l’itinéraire. Je repars par des sentes étroites ouvertes dans des couloirs de chênes. À l’entrée du vallon de Barrulé, la forêt signe son grand retour. Le ruban brun d’un chemin de terre bien dessiné fend en douceur le mur vert d’un dense bois de châtaigniers et de pins d’Alep.
L’itinéraire s’appuie ici sur le périmètre du domaine de la Caviotte dont la fréquence de pose des panneaux rappelle la nature privée dont la propriété et l’usage revient à l’ASPAS, association drômoise de protection des animaux sauvages. Je pense à l’une de leurs Réserves de Vie Sauvage®, ces espaces rachetés par le collectif – 1307 hectares actuellement, essentiellement dans la Drôme – où, pour reprendre leurs termes, la Nature peut s’exprimer pleinement et librement. Mais non.
Au-delà de Marquisan, la forêt se fait plus clairsemée et l’horizon reprend son élan, permettant au regard de pousser jusqu’aux premiers soubresauts boisés constituant l’amorce de la longue crête orientale du Mont Ventoux.
Un sentier plus joueur se faufile bientôt entre les troncs pelant comme des peaux d’orange de pins sylvestres avant d’ouvrir sur le dernier village de l’itinéraire. D’Aurel, c’est d’abord ce qui ressemble à l’arrière d’un château et à la flèche de tuileaux vernissés d’un clocher carré qu’on aperçoit en premier.
3 – Aurel
J’atteins l’entrée de la commune par le haut, ignorant qu’Aurel se déploie ensuite en étagements successifs vers le pied de son bourg. Je le trouve désert. Pas une âme de croisée en flânant par les artères pittoresques et d’évocation médiévale de celui qui, dit-on, inspira le pinceau d’artistes renommés. On cite Seyssaud, on parle d’Ambrogiani.
La révélation du visage entier d’Aurel je ne l’aurai que plus tard, en tournant le dos à la commune, sur le chemin du GR® de Pays Tour du Massif du Ventoux qui l’abandonne par le sud. Alors seulement réalise-t-on la façon dont s’étire le village de haut en bas, en s’affaissant au même rythme que le bout de colline sur lequel il s’est construit.
Aurel disparaît ensuite derrière un bouquet de Genêts. Je me sais désormais sur le chemin du retour. Un dernier segment plus avare de circonvolutions propices à retarder l’arrivée sur Sault. Plus direct, le cheminement paraît avoir été tracé à la règle sur les hauteurs du coteau qui domine la Nesque dont c’est ici les premiers balbutiements.
Le chemin est rapidement avalé par le Bois du Défends et ses peuplements denses de chênes et de résineux. J’y digère ces heures de sentier passées à la découverte des trois villages vauclusiens humblement accolés au Géant de Provence, entre Luberon et Baronnies.
Une randonnée en forme de visite de courtoisie à un territoire plus intime et en marge des grands spots naturels satellisant autour de Sault. Sault que je ne tarde pas à rejoindre par ses faubourgs nord et envers qui j’ai la sensation, désormais, d’avoir réellement pris le temps de faire connaissance.
Guide Pratique
Venir à Sault
En voiture on rejoint Sault depuis Avignon ou l’autoroute A7 en 1h15 et environ 65 kilomètres. Il faut d’abord suivre la direction de Carpentras puis, à Carpentras, emprunter la D942 direction Gap, Vaison la Romaine et Le Mont-Ventoux. Passer Mazan puis Mormoiron et, après Villes-sur-Auzon, suivre la D1 direction Sault qu’on rejoint par le col des Abeilles. Stationnement sur le parking de la place des Aires.
Mobilité douce
Avignon peut être rejointe en train et en TGV. Depuis sa gare routière, la ligne de bus Zou! 905 permet de rejoindre Carpentras. Correspondance ensuite avec la ligne Zou! 912 jusqu’à Sault. Plus d’infos sur le site Zou! Ma Région Sud
Topo pas-à-pas et trace GPX
Pour celles et ceux qui le souhaitent, je peux vous envoyer la trace GPX de cet itinéraire sur simple demande par mail à l’adresse contact@carnetsderando.net
Quitter le parking des Aires par son extrémité sud-est pour rejoindre l’avenue de la Résistance. Tourner à droite et descendre jusqu’à croiser l’avenue de la République. Arrondir autour du café à gauche pour emprunter ensuite la rue de l’Oratoire. Quand elle croise, à droite, la route des Cartouses (1), repérer le poteau signalétique « Jardin Public » et suivre la direction « Saint-Trignit » et « Mougne » en remontant le chemin du Trou de l’Eimine. Suivre entièrement celui-ci jusqu’à ce qu’il vire à droite en direction du centre hospitalier de Sault. (2)
Continuer alors en face par un chemin qui finit par entrer dans une forêt. À une fourche, suivre la branche de droite et rejoindre, un peu plus loin, un large chemin. Plus bas, dépasser à gauche l’entrée du club de tir (3) et remonter ensuite jusqu’au poteau signalétique du « Bois des Pourraches ». (4)
Prendre à gauche direction « Saint-Trinit » et, plus loin, croiser un chemin. Prendre à droite et ignorer tous les chemins arrivant de la droite jusqu’au poteau signalétique « Trou de l’Eimine » (5). Continuer direction « Saint-Trinit » et « les Plaines ». Sortant de la forêt, longer des champs de lavande jusqu’à atteindre une route (6). La suivre quelques mètres à gauche et, rapidement, la quitter à droite le long d’une rangée d’arbres. Croiser assez vite un autre chemin (7) et le suivre à gauche.
Monter plus loin un chemin caillouteux, longer ensuite une exploitation agricole et déboucher sur un large chemin à l’issue (8). Remonter celui-ci en direction de Saint-Trinit, traverser une route et continuer en face pour atteindre le village au niveau d’une petite chapelle, sur la gauche (9). Prendre à droite la route de la Transhumance, passer devant l’église et, en continuant tout droit, croiser une route départementale (10). La traverser et continuer en face, jusqu’au cimetière, sur la droite (poteau signalétique). (11)
Partir alors à gauche, au niveau d’un oratoire, direction « Aurel » et « Vallon de Barrulé ». Rejoindre un chemin plus large (12) et le suive à droite. Il arrondit ensuite largement à gauche et rejoint une route (13) après avoir ignoré un chemin, à droite. La traverser et poursuivre en face.
À la sortie d’une courbe du chemin à gauche, repérer le marquage au sol fait plutôt côté droit, qui invite à quitter le chemin à droite pour s’engager dans un couloir herbeux rejoignant le couvert des arbres (14). Il croise plus loin la route, qu’on suit à gauche après l’avoir traversée.
Au poteau signalétique « Vallon de Barrulé » (15) suivre la direction « Aurel » et « le Marquisan » en s’engageant dans une sente peu marquée et tracée entre deux rangées d’arbres. Continuer tout droit jusqu’à croiser un large chemin forestier. (16)
Le couper et continuer en face, toujours tout droit jusqu’à rencontrer à nouveau une route (17). La traverser et poursuivre par un sentier de l’autre côté, tracé entre les résineux. Il débouche plus loin à la sortie d’un champ contre un autre chemin (18) qu’on suit à droite, jusqu’à une maison où se trouve le poteau signalétique « le Marquisan ». (19)
Prendre à gauche direction « Aurel » et « les Burlières ». Croiser rapidement une autre route et la suivre à droite. Elle conduit en direction d’une propriété privée qu’on évite par un petit sentier ouvert à gauche, juste avant d’y arriver (20). Plus haut, le chemin a été « effacé » par des travaux : continuer malgré tout dans l’axe général jusqu’à atteindre une route, puis un carrefour.
Prendre à droite puis, au niveau d’une fontaine (21), à gauche le chemin de la Burlière. Une fourche survient peu après : prendre la branche de gauche qui longe une grande propriété. Dépasser celle-ci et poursuivre jusqu’au poteau signalétique « Les Burlières ».Prendre la branche de gauche direction « Aurel » et « le Puits d’Aymar ».
Continuer toujours tout droit par un petit single qui finit par rejoindre les hauteurs d’Aurel et le goudron du chemin du Puits d’Aymar (22). Descendre par celui-ci jusqu’à ce qu’il croise une route. La suivre à gauche puis, rapidement, partir à droite par la rue du Caire. Plus loin, tourner à droite par la rue de l’Ancienne Poste puis, par une rue à gauche, rejoindre la rue de la Calade. Tourner à droite et atteindre le poteau signalétique « Aurel ». (23)
Suivre la direction « Sault » et « col de Mougne ». Quitter Aurel par un petit single qui, plus haut, rejoint un chemin plus large (24). Suivre celui-ci à droite et continuer toujours tout droit pour rejoindre l’entrée du Bois du Défends et, plus loin encore, le poteau signalétique « Col de Mougne » (25). Suivre alors la direction « Sault » et « la Rouyère ». Au poteau signalétique « la Rouyère » (26), continuer tout droit direction « Sault » et « Roumane ». Au poteau signalétique « Roumane » (27) poursuivre tout droit, dans le même axe, direction « Sault » et « Cimetière de Sault ».
Le chemin finit par sortir sur une route asphaltée qu’on suit intégralement jusqu’à croiser la route départementale (28). La traverser prudemment et, en face, longer à droite le cimetière pour rejoindre le haut de l’avenue de la Résistance (29). Couper à nouveau la départementale pour continuer en face et rejoindre, plus bas, le parking des Aires.
Difficulté & Recommandations Particulières
Cette randonnée ne présente aucune difficulté technique. Ni aucune réelle difficulté physique, à l’exception de quelques pentes ou côtes assez brèves à franchir. Le balisage reste largement correct tout du long, excepté entre (6) et (7) et entre (13) et (14) où un peu d’attention est requise.
C’est un circuit qui va à la rencontre des trois villages du titre. L’idée est donc de prendre le temps de la visite. Je vous recommande donc fortement de prendre le temps de la découverte et d’abandonner provisoirement le balisage originel pour déambuler librement dans leurs rues anciennes. Pour info, une visite guidée de Sault est possible : renseignements auprès de l’Office de Tourisme.
Nous sommes ici dans le sud et il peut faire assez chaud dans ce secteur. Vous pourrez recharger les gourdes à Aurel où plusieurs robinets sont visibles, notamment dans la rue du Plan du Four ou à la fontaine de la Place du Portail.
L’accès aux massifs forestiers est réglementé entre juin et septembre en raison du risque potentiel d’incendie. Si vous souhaitez y randonner pendant cette période il est indispensable de consulter en amont la carte actualisée quotidiennement sur le site de la Préfecture.
Il y a des espaces aménagés pour la pause et le pique-nique à Saint-Trinit. Le petit bourg dispose également d’un sympathique Bistrot de Pays où il peut être particulièrement agréable de prévoir de s’arrêter à mi-parcours pour le déjeuner. Infos et réservation : 04 86 69 62 80 ou mail ylam.bistrost@gmail.com
Saisonnalité
Cette randonnée a été effectué courant juin. À cette époque les températures sont encore très supportables et la campagne est généreusement fleurie. Le printemps n’est plus vraiment tout jeune mais la Nature demeure colorée et vivante. En revanche la lavande n’est pas encore entrée en floraison. Pour admirer la lavande à l’apogée de celle-ci il faut venir entre la juillet et août. Au-delà elle sera récoltée.
On est ici à un peu moins de 800m d’altitude et on peut miser sur le passage d’un peu d’air, même en plein été. On peut aussi compter sur l’omniprésence des sections en sous-bois pour échapper à la chaleur. Veillez cependant à prendre suffisamment d’eau et à vous protéger du soleil en été. L’arrière-saison, jusqu’en octobre, reste agréable pour ses températures. Il n’y a cependant plus vraiment de fleurs et la marque de l’automne reste discrète du fait de l’abondance de résineux et d’essences persistantes.
Liens Utiles
Pour davantage d’informations sur le Pays de Sault et son offre touristique en marge de la randonnée, rendez-vous sur le site de Ventoux Provence.
Pour une approche globale du territoire et du Vaucluse, ça se passe du côté de Provence Guide et, pour davantage d’idées de randonnée dans le département, vous pouvez bien sûr consulter la catégorie Vaucluse du blog mais aussi la section Randonnée Pédestre du site Provence Guide.
Où dormir ?
Ouvert du 1er avril au 30 octobre Pilpoil fait à la fois gîte et chambre d’hôtes. Cinq chambres de formats différents et une roulotte accueillent les randonneurs/ses le temps d’une nuit à Sault. Comptez à partir de 50 euros la chambre simple, avec linge de lit inclus. Une cuisine permet une gestion des repas en liberté mais il est possible, sur réservation, de demander le repas en demi-pension pour 62 euros/personne. Contact et réservation : 06 80 62 53 39 ou info@pilpoil-provence.fr
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